Silvia Callejon
Dur de trouver ses racines quand on est partagé entre la France et l’Espagne. Du coup, je prends ce qu’il y a de meilleur dans les deux cultures pour rythmer mes envies.
Je dessine, recycle sur différents supports et découvre l’acrylique. Maintenant, je racle, colle pour créer des textures et des effets de matières.
Mes personnages sont loin d’être parfaits, heureusement… Ils ont une transparence, une usure dans l’âme, une histoire qui nous interpelle.
Trouver ma « pâte », ma signature et surtout qu’est-ce que je peux continuer à leur faire dire ? C’est forcément lié avec ce qui m’y entoure, ce que je vis, ce que je vais découvrir.
Des peintres classiques, j’ai un petit faible pour Toulouse-Lautrec car il a sublimé la vie populaire de son époque. Pour les contemporains, je craque pour Enki Bilal (illustrateur-peintre), Gonzalo Borondo (Street-artiste Espagnol), Ernest Pignon Ernest, Fabienne Verdier… Et merci à Pierre Soulages de m’avoir autant bousculée…Tout ce petit monde m’émeut et me donne l’envie de continuer…
Dans mes tableaux, j’ai pris comme thèmes : « Dans la rue, le temps qui passe, Où va-t-on ?? les violences faites aux femmes, l’avenir de la planète….
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